participez au ceramic brussels art prize 2026 !
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A l'initiative de ceramic brussels, l'art prize vise à mettre en valeur la vitalité et la diversité de la pratique contemporaine de la céramique et à soutenir la création contemporaine.
L'appel à artiste est ouvert aux étudiant·e·s en art et/ou aux jeunes artistes vivant en Europe, non représenté·e·s par une galerie, sans limite d'âge. Il s'adresse aux artistes de moins de 10 ans de pratique et de recherche dans le domaine de la céramique.
L'exposition collective présente 10 artistes dans le cadre d'une exposition organisée par Jean-Marc Dimanche, pendant ceramic brussels. Chaque artiste et une sélection de ses pièces sont présentées au public dans le cadre d'un dispositif spécifiquement élaboré.
L'exposition est conçue pour être accessible et visible par tous.tes : située à l'entrée, elle est gratuite et ouverte à la découverte du public.
L'appel 2025 s'est clôturé avec plus de 300 candidatures.
↘ les lauréat·es 2025
Au cours de ses 10 ans de pratique, Anastasiia Marakulina a combiné les matériaux : installations, textiles, sculptures en métal, graphismes. Récemment attirée par la céramique et ses possibilités infinies, l'artiste a développé des séries, tentant de comprendre comment nous nous influençons les uns les autres et comment nous nous modelons.
Je remarque les liens poétiques et esthétiques entre les phénomènes et je passe par mon expérience personnelle, en m'observant attentivement et en observant le monde qui m'entoure : la ville, les gens, la nature.
Cherchant à trouver un langage visuel pour exprimer ces liens à l'aide de divers médias, l'artiste crée des espaces temporels qui s'équilibrent entre le monde intérieur des sentiments et le monde réel des objets.
Diplômée des Beaux-arts en sculpture puis de la Cambre en céramique, passée ensuite aux ateliers européens Kult XL, Béatrice Guilleman prélève et s’inspire de formes et ornementations architecturales. De Bruxelles à la Grèce en passant par la Bretagne, les paysages qui l'entourent sont vecteurs de découvertes et de nouvelles formes.
Diplômée de l'université Goldsmiths (Master en Beaux-Arts) et de l'institut d'art, de design et de technologie de Dun Laoghaire (Irlande), Camilla Hanney travaille sur la céramique, la sculpture et l'installation. Les principaux thèmes de l'artiste sont le temps, la sexualité, l'identité culturelle et le corporel, faisant souvent référence au corps de manière à la fois humoristique et provocante.
En matérialisant le familier dans un contexte inconnu, son travail stimule la capacité de chacun à repenser sa relation aux objets, menaçant l'ordre naturel et jouant avec les tensions qui existent entre la beauté et la répulsion, la curiosité et l'inconfort, le désir et le dégoût.
Eleonore Griveau étudie en France puis en Norvège où elle vit. Son travail reflète une ère posthumaniste, montrant comment la perception du corps et les matériaux évoluent en même temps que la technologie.
Mélangeant céramique et électronique, je crée des installations interactives qui reflètent l'impact de l'homme sur les écosystèmes contemporains.
Une installation récente, sur la grotte de Lascaux fermée en raison des dommages causés par les exhalaisons des visiteurs, capture l’expiration des visiteurs et la traduit en vibrations agressives, provoquant l'effritement lent des couches de céramique. Les projets combinent des éléments organiques et synthétiques, intégrant l'électronique dans des installations interactives en céramique pour explorer la relation évolutive entre la nature et la technologie.
Entre Histoire de l’art à l’École du Louvre et la Sorbonne puis New York University où elle entame la sculpture, Léonore développe un vocabulaire de formes figuratives centrées sur les notions d’intimité, d’intériorité et de tendresse. Elle laisse l’argile brute et s’approprie une pratique artisanale, en oscillant entre le classique et le désuet pour aborder la notion d’attente liée au féminin.
La céramique est pour moi le matériau des fouilles archéologiques, de la preuve, de la trace, de la permanence, elle me permet d’inscrire le quotidien dans la durée.
L’artiste associe le féminisme à une réflexion entre histoire de l’art, artefacts et dispositif muséal. Elle intègre également des éléments personnels, faisant ainsi écho aux pratiques du journal intime et de la miniature historiquement associées aux femmes.
Au cours de son cursus à la Cambre, Luna-Isola Bersanetti intègre du textile dans ses créations afin d’apporter de la souplesse à la céramique. Elle passe alors six mois à l’ALBA Beyrouth, section stylisme, pour acquérir des compétences techniques en couture, tissage et maille.
Attirée par l’art vivant, l’incorporation du textile me permettait d’activer mes créations par des performances.
L’artiste met l’accent sur la transmission, tant dans la réinterprétation de l’histoire et des légendes que dans la valorisation de savoir-faire, historiquement dominés par les femmes.
Diplômée en sculpture à la Cambre, Maëlle s’intéresse à la céramique suite à un stage chez Sofi van Saltbommel et officialise avec un post-master Hisk. Elle questionne le progrès au travers de toute époque et explore les traces de décadence et les éventuels espoirs.
Mon travail aborde également la destruction des écosystèmes par l’homme, comme dans la série d'œuvres ‘Jusqu’ici tout va bien’, 2022.
Dans ces installations, chaque pièce est progressivement sujette à une corrosion programmée. D’autres installations abordent, quant à elles, la liberté des semences ou encore les écosystèmes microbiens comme première source de vie sur terre.
Entre tradition et parodie, Pascale Robert s’est intéressée à la céramique après un cursus aux Arts décoratifs de Strasbourg puis une résidence à Marseille. Le matériau s’est immiscé dans sa pratique en matérialisant ce que l’artiste représentait sur tableau : elle associe culture de la fête et labeur de l’atelier à l’aide de références historiques afin de produire une oeuvre joyeuse et délurée. Le tout, au départ de photos de l’entourage, des amis attablés sans contraintes ni protocole.
J’aime taquiner le folklore, les particularismes culinaires. Mes attrapes sont parfois indignes, paréidoliques, suggestives, grotesques, souvent irrévérencieuses. Sous la noblesse du matériau, elles offensent gentiment le bon goût.
Étudiante à la HEAR et Adbk Munich, la céramique s’est imposée à Pia Mougeot et son besoin de mouvement. Entre pratique et rencontre, le faire ensemble résonne et stimule l’artiste. Les sculptures de Pia font le récit de l’affect et le pari que le réel se transforme en fonction de comment on le raconte. Résultat d’une obsession, ou du recyclage énigmatiques de symboles, d’anecdotes et de poésie, les sculptures sont d’abord intuitives et libres, comme de petits théâtres.
Les questions féministes dominent mes récits, avec un ton méditerranéen et une pratique de l’émaillage qui n’est pas sans rappeler la culture céramique du sud de la France, où j’ai grandi et qui n’a pas peur du mauvais goût.
Enseignant et responsable d’atelier, Raphaël est aussi formateur d’impression 3D céramique. Inspiré par ses lectures et l'observation du vivant, sa pratique décloisonne les frontières entre savoirs théoriques et pratiques techniques.
En croisant tradition, technologie et sciences de la nature, mes céramiques portent des réflexions sur la biologie, tout en amenant des développements spéculatifs et oniriques, je positionne ainsi ma pratique au cœur des paradigmes du monde contemporain.
Ses sculptures sont des écrins de terres cuites destinés à accueillir des formes de vies organiques, elles peuvent être traversées par des fluides, habitées par des végétaux ou colonisées par des insectes et des bactéries.
Un jury de personnalités de renom est en charge de la sélection des lauréat·es.
↘ 2026
Après avoir créé et dirigé pendant 20 ans l’agence de design V.I.T.R.I.O.L., il fonde en 2008, avec Florence Guillier-Bernard, Maison Parisienne, galerie itinérante dédiée aux métiers d’art français, dans le cadre de laquelle il organise plus d’une cinquantaine d’expositions dans diverses capitales européennes.
Début 2016, appelé comme conseiller auprès de S.A.R. la Grande Duchesse Héritière du Luxembourg, il travaille auprès d’elle à la mise en œuvre de la biennale De Mains De Maîtres dont il est aujourd’hui commissaire général.
Il dirige en parallèle entre mars 2019, date de son ouverture à Bruxelles, et juin 2022, ELEVEN STEENS, espace privé dédié à l’Art et à la Matière, ouvert à tous les domaines de la création, que ce soit les arts plastiques, le design, les métiers d’art, l’architecture ou la mode…
Commissaire indépendant, il accompagne de nombreuses expositions dans le domaine des métiers d’art et de l’art contemporain, que ce soit en France, en Belgique et au Luxembourg, et travaille actuellement au lancement de la première foire dédiée à la céramique contemporaine, ceramic brussels, qui se tiendra en janvier 2024 à Bruxelles.
Wendy Gers est une conservatrice, chercheuse et consultante franco-sud-africaine primée, basée aux Pays-Bas. Elle est conservatrice de l'art moderne et contemporain au Musée national de la céramique Princessehof et chercheuse principale à l'Université Hanze des sciences appliquées, à Groningue, aux Pays-Bas. À l'automne 2024, elle est titulaire de la chaire internationale d'histoire de l'art Theodore Randall à l'université d'Alfred, à New York.
Wendy a enseigné et dirigé des expositions majeures en Europe, en Amérique, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique. Parmi ces expositions, on compte deux Biennales, chacune présentant plus de 60 artistes et visitée par plus d'un million de personnes. Elle est l'auteur de nombreux catalogues, chapitres de livres et articles scientifiques, dont la monographie de référence sur les poteries d'Afrique australe, Scorched Earth (2016). Wendy a donné plus de 80 conférences publiques et discours d'ouverture dans 20 pays et a fait partie de divers jurys et conseils d'administration.
Gers est titulaire d'un doctorat de l'université de Sunderland, d'une maîtrise en histoire de l'art (avec mention), d'un diplôme universitaire supérieur en études de l'information et d'une licence de l'université de KwaZulu-Natal, en Afrique du Sud. Elle a effectué son stage de recherche postdoctorale à l'université de technologie de Tshwane, en Afrique du Sud. Ses recherches portent sur la durabilité, la décolonisation et les études curatoriales.
Jean-Charles Hameau est directeur du Musée national Adrien Dubouché à Limoges. Il travaille au Musée national Adrien Dubouché en tant que conservateur du patrimoine depuis 2014 puis en tant que chef du service des collections depuis 2020.
Spécialisé en art moderne et contemporain, il a notamment piloté le nouvel accrochage de la salle du musée dédié à la céramique contemporaine (2018) et assuré le commissariat d’expositions telles que INC(L)ASSABLE, Les 30 ans du CRAFT Limoges : créations contemporaines (2023), Matière lente, Martin Szekely (2022), Formes vivantes (2019) ou encore Avant, ici, Maintenant, l’expérience Non Sans Raison (2015).
musee-adriendubouche.fr
@mnadlimoges
sevresciteceramique.fr
@sevresmanufactureetmusee
Lionel Jadot, né et établi à Bruxelles, est architecte d'intérieur, artiste, designer, cinéaste et aventurier, souvent tout à la fois.
Son travail fusionne les disciplines avec une touche alchimique, transformant des matériaux de rebut en créations extraordinaires. "Je ne jette rien, je ramasse. Je n'ai pas la main verte, j'essaie des boutures, des mariages contre nature". Jadot associe le passé et l'avenir, tissant harmonieusement le bois avec le métal, le minéral avec le végétal, et l'ancien avec le nouveau. Il construit des formes organiques, génératrices d'énergie, qui jettent un pont entre les époques et remettent en question la norme.
Son travail est un dialogue entre le temps et l'espace, mêlant le rétro-futurisme, les bandes dessinées gothiques et les univers cinématographiques de Moebius, Jodorowski et Blade Runner. Chaque projet est une fusion d'histoire, d'innovation et d'inspiration. Qu'il s'agisse de réimaginer l'architecture ou de créer des objets mutants, les créations de Jadot vous invitent dans un univers subtil et décalé, à la limite de la réalité.
Pour Jadot, le design n'est pas seulement une question de forme, c'est une question de connexion. "Je m'occupe de la connexion entre deux matériaux. Il est à l'écoute du monde qui l'entoure et laisse ses sentiments ineffables guider son travail. Grâce aux Ateliers Zaventem et à sa philosophie du design, il crée des espaces et des objets qui grandissent, s'adaptent et évoluent, en s'efforçant toujours de transformer l'ordinaire en quelque chose d'extraordinaire.
Historienne de l’art formée à l’Université Autonome de Madrid, Maral Kekejian tisse depuis plus de deux décennies une trajectoire singulière entre création, pensée et action culturelle.
Actuellement directrice artistique d’Europalia España 25–26 à Bruxelles, elle fut récemment au cœur de la programmation culturelle de la Présidence espagnole de l’Union européenne (2022–2024). Commissaire de la représentation espagnole à la Quadriennale de Prague 2023, elle explore les langages de la scène depuis les marges comme depuis les institutions. Enseignante au Master de gestion culturelle (Université Carlos III), elle partage son expertise avec les nouvelles générations.
Boursière à la Real Academia de España à Rome en 2021, elle signe cette même année la programmation des Picnic Sessions au CA2M. Elle contribue activement à des projets engagés, tels que “Llanes. Paisajes en folixa”, et a siégé au Conseil des arts de la scène (INAEM).
À Madrid, elle a dirigé les Veranos de la Villa (2016–2019), la Cabalgata de Reyes (2015–2016), et animé La Casa Encendida pendant près de dix ans. Sa carrière, entre production, commissariat et transmission, dessine une cartographie vivante de la création contemporaine en Espagne et au-delà.
↘ édition 2025
Grâce à des partenaires institutionnel·les, des prix supplémentaires ont été décernés aux lauréat·e·s et remis le jour de l'ouverture, le 23 janvier 2025 à 13h30, dans l'espace talk.
Le jury du ceramic brussels art prize 2025 élira et annoncera, le premier jour de la foire, un·e artiste parmi les 10 lauréat·es présenté·es dans l'exposition collective.
L'artiste aura la chance de présenter son travail dans une exposition individuelle lors de l'édition 2026 de ceramic brussels.
L'artiste bénéficie de la réalisation d'une monographie sur son travail, soutenue par l'Ambassade de France à Bruxelles et réalisée en collaboration avec la jeune maison d'Editions R.S.V.P.
Grâce à ce soutien, l'artiste disposera d'un important outil présentation et de diffusion de son travail.
Raphaël Emine est le gagnant du Prix Ambassade de France en Belgique (fr)
Nouveau lieu de résidence artistique situé en France au cœur de la forêt d’Orléans dans le Loiret. Un espace de création collective centré sur la nature, pour rechercher, échanger, changer d’échelle et s’inspirer d’un grand parc entouré de 10 hectares de forêt. C’est un espace de dialogue entre des savoir-faire différents (céramique mais aussi peinture, cuisine, design, écriture…).
L'artiste bénéficie d'une résidence de recherche et création de 2 mois en 2025 incluant (notamment) le logement sur place et la prise en charge des frais de transport vers le lieu de résidence (situé dans le Loiret à 1h30 de Paris). Il.elle dispose d'un accès à un atelier tout équipé, matières premières, cuissons et, en cas de besoin, d'un véhicule à disposition.
Raphaël Emine est le gagnant de la résidence Les Ateliers dans la Forêt (fr)
Ceramic Art Andenne est née de la volonté de pérenniser une initiative liée à l'histoire de la céramique de la ville.
Créée en 1988, la manifestation attirant un public de connaisseurs et d'artistes de renom, devient la Biennale de la Céramique en 1992, portée par le Centre Culturel d'Andenne, puis Ceramic Art Andenne en 2018 et se consacre pleinement à donner de la visibilité à l'art de la céramique. C'est un lieu privilégié pour parler, découvrir, toucher, entendre et voir ce qui se passe dans le monde de la céramique contemporaine dans sa diversité de formes.
L'artiste (ou les artistes) bénéficie.nt d'une exposition dans le cadre du Festival de céramique contemporaine d'Andenne nouvellement appelé "Perspectives". Elle fera partie de l'une des 7 expositions du Festival et sera montrée dans l'Espace Muséal d'Andenne du 17 mai au 15 juin 2025.
Luna-Isola Bersanetti, Béatrice Guilleman et Raphaël Emine sont les gagnantes du prix Ceramic Art Andenne (be)
Nichée au coeur de Bruxelles, au sein d’une ancienne centrale électrique, la Centrale for contemporary art est le centre d’art contemporain de la Ville de Bruxelles.
Elle développe une vision engagée et décloisonnée de l’art, en lien avec la cité et la société. Chaque année, elle produit dans ses divers espaces des expositions et projets multidisciplinaires avec des artistes confirmé.e.s et émergent.e.s, tant bruxellois.e.s qu’internationaux.ales.
L'artiste bénéficie d'une exposition dans l'exposition collective programmée en 2026 (09/04 au 23/08), d'une participation forfaitaire de 2.000€ ainsi que d'un accompagnement curatorial, de communication, de montage et de médiation.
Partenaires : Art Contest asbl, Carte de Visite Artopenkunst (Ville de Bruxelles), ceramic brussels, Wolubilis (prix Médiatine) et les 6 écoles supérieures d’art bruxelloises : Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (ARBA-ESA), École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre (La Cambre), École de recherche graphique (ERG), Institut national supérieur des arts du spectacle (INSAS), LUCA School of Arts, Royal Institute for Theatre, Cinema and Sound (RITCS).
Léonore Chastagner est la gagnante du Prix Centrale for contemporary art (be)
Le Centre Wallonie-Bruxelles est un Centre d'art, un catalyseur de référence pour la création contemporaine belge et l'écosystème artistique et culturel dans sa transversalité.
Par sa programmation résolument déconsacrée et transdisciplinaire, le Centre a pour mission de diffuser et de promouvoir le travail des artistes établis en Fédération Wallonie-Bruxelles. Il promeut ainsi les démarches émergentes et confirmées, de la périphérie à l'establishment. Il contribue à stimuler les coproductions et les partenariats internationaux, et à mettre l'accent sur la scène belge.
L'artiste bénéficie d'une exposition d'une œuvre au sein de la Galerie Talmart dans le cadre d’une programmation Hors-les-Murs Satellite portée par le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, à partir de septembre 2025.
Luna-Isola Bersanetti est la gagnante du Prix Centre Wallonie Bruxelles-Paris (fr)
Musée, espace d'art et de création dédié à la céramique, Keramis est érigé sur le site de l'ancienne faïencerie Boch à La Louvière. Son architecture, contemporaine et audacieuse, englobe un édifice ancien classé qui contient trois fours-bouteilles géants, les derniers exemplaires du genre en Belgique.
L'artiste bénéficie d'une résidence de 30 jours, en juillet 2025, au sein de la résidence de Keramis.
Il.elle dispose d'une somme de 2000 € et d'un budget de 500€ de location de four (frais énergétiques). Il/elle bénéficie d'une résidence de recherche (sans promesse de restitution ni d’édition) et de facilités de commande de matériel via le musée (commande, frais de déplacements et des œuvres produites à charge de l’artiste).